Anakin # Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.  # Lana

crackle bones

Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.

La dernière journée que j’avais passé avec Lana était la meilleure journée que j’avais passé ces derniers temps. Et pourtant nous n’avions rien fait de spécial, nous étions restés chez elle à regarder un film, en mangeant des bonbons. A vrai dire, je n’avais pas vraiment suivit le film, mes pensées étaient occupé par la femme qui était dans mes bras. Je n’étais pas allé travailler ce jour là, après tout avec mon poignet je n’allais pas servir à grand-chose. Alors j’étais resté avec elle, toute la journée. Jusqu’au soir, où je devais quand même rentrer. Pas que je le voulais mais je devais bien rentrer un jour pour m’occuper de mon chien. Mais j’allais la revoir, je le savais. L’histoire ne s’arrêtait pas là. Et puis j’étais rentré ce soir là, heureux. Même mon chien l’avait remarqué. Et le lendemain, j’avais enfin fini par me raser, et j’étais allé au boulot, heureux. Mes collègues l’avaient bien remarqué. J’avais toujours la tête ailleurs, mais pas pour les mêmes raisons. Même les gens dans la rue le remarquaient, se demandant pourquoi je souriais toujours. J’avais toujours mon poignet bandé, mais j’avais moins mal, beaucoup moins. Il était juste encore enflé, mais c’était tout.

Et enfin, une nouvelle journée de libre. Pas de travail. Une nouvelle journée que je pourrais passer avec Lana. Et puis si elle travaillait, j’irais la passer au café, juste pour la voir. Mais elle m’avait envoyé un message et me proposa de passer la journée ensemble, d’aller faire un pique nique parce qu’il faisait beau. Souriant comme un idiot, j’acceptais. Elle m’avait bien précisé de ne rien préparer, juste d’amener mes fesses et mon chien, de passer la prendre chez elle.

Garé devant chez elle, je baissais la vitre arrière pour qu’Esprit d’Obiwan puisse sortir la tête le temps que je passe chercher Lana. Je lui caressais la tête, je n’en avais pas pour longtemps, normalement. J’entrais dans l’immeuble et montais les marches jusqu’à son appartement, avant de frapper à la porte. J’attendais qu’elle m’ouvre mais à la place, je l’entendais me crier d’entrer. Ce que je fis.

« Lana ? »

J’allais jusque dans son salon, elle n’était pas là. Certainement encore dans la salle de bain. Lorsque je me retournais, je la voyais arriver dans le salon et je lui rendais son sourire.

« Salut… »

Elle m’embrassa et je passais mon bras derrière elle pour l’attirer contre moi. Je lui rendais son baiser avant de la suivre dans la cuisine. En voyant tout ce qu’elle avait préparé, je n’étais pas vraiment étonné. Par après le petit déjeuner qu’elle avait fait l’autre jour. Je riais légèrement lorsqu’elle dit qu’elle pensait ne rien avoir oublié.

« Je crois pas non plus. »

Je lui souriais alors qu’elle me disait être prête. Je l’aidais à prendre les affaires et nous descendions ensemble jusqu’à la voiture, où mon chien nous attendait la tête posé dans l’encadrement de la fenêtre. Il semblait profiter du soleil. Je le regardais et souriais, il ne lui manquait plus qu’une paire de lunettes sur le museau. Lorsque Lana lui gratta la tête, il semblait heureux, comme toujours. Je mettais tout dans le coffre de la voiture, avant de m’installer derrière le volant. Je démarrais et suivais toutes les instructions qu’elle me donnait.

Après une heure de route, je garais la voiture et sortais en m’étirant. Laissant Esprit d’Obiwan sortir il commença directement à renifler partout et à se promener. Pendant nous sortions toutes nos affaires de la voiture. Je ne savais pas du tout où Lana m’emmenais, je n’étais jamais venu ici auparavant. Elle me dit que l’endroit en question était un peu plus loin et que nous serions tranquilles. Je lui souriais.

« Je te suis ! »

Je fermais la voiture à clef avant de prendre la main de Lana avec celle qui me restait. Je lui souriais et nous commencions à marcher. J’appelais mon chien pour qu’il nous suive et il obéit, marchant quelques pas devant nous. Nous marchions jusqu’à arrivé à un endroit où se trouvait un coin d’eau avec une cascade. Lana s’arrêta et je comprenais alors que c’était là. Je regardais l’endroit, souriant. C’était vraiment magnifique.

« Wow… »

Anakin # Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.  # Lana

crackle bones

Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.

En voyant tout ce que Lana avait préparé, je n’étais pas vraiment étonné. La première fois je l’avais été, en voyant le petit déjeuner qu’elle avait fait alors que nous n’étions que deux. Mais là, ça ne m’étonnais plus. Elle croyait n’avoir rien oublié. Personnellement, j’en étais plutôt certain. Mais ce qui comptait, c’est qu’elle était prête. J’avais vraiment hâte de passer la journée avec elle. Je prenais la glacière dans une main et descendais les marche de l’immeuble, suivit de Lana, jusqu’à la voiture où nous attendait Esprit d’Obiwan. Lui aussi semblait heureux de revoir Lana, car quand elle lui gratta la tête, ce dernier se redressa. Si il avait pu, il serait sortit de la voiture en passant par la fenêtre. Mais heureusement, il ne l’avait pas fait. Ayant tout mis dans le coffre, je m’installais enfin derrière le volant, conduisant jusqu’à l’endroit indiqué par la jeune femme.

Je me garais et sortais tout du coffre alors que mon chien se baladait déjà, explorant les environs. Je fermais la voiture à clef, et prenais la glacière dans une main. Avec l’autre je prenais la main de Lana, lui indiquant que je la suivais. Après tout je n’étais jamais venu ici, et je ne savais pas du tout où est-ce qu’elle comptait m’emmener. Je souriais quand je la sentais serrer ma main. J’adorais cette sensation, ce que je ressentais dans mon ventre, dans ma tête, dans mon cœur. Je la suivais, mon chien marchant devant nous. Au fur et à mesure que nous marchions, j’entendais le bruit de l’eau. Une rivière sûrement…

Mais l’endroit où s’arrêta Lana n’était pas seulement bercée par une rivière, loin de là. Toute une cascade se trouvait devant moi, plongeant dans une cuvette où celui qui voulait pouvait facilement y nager. Sans lâcher la main de la jeune femme, je restais bloqué devant ce spectacle. Je souriais en entendant Lana. Un endroit rien que pour nous ? J’adorais cette idée. L’avoir rien que pour moi une journée entière, dans un endroit parfait. Je tournais la tête vers elle, toujours en souriant.

« Tant mieux je pourrais t’avoir pour moi tout seul alors… »

Elle fini par lâcher ma main et s’approcha de l’eau, y déposant une couverture. Elle s’y installa et Esprit d’Obiwan décida de la rejoindre en se couchant près d’elle. J’étais un peu rêveur. En fait, je n’arrivais pas vraiment à croire ce qu’il s’était passé ces derniers jours. La chute, moi dormant dans son lit, elle me disant qu’elle était aussi amoureuse alors que je dormais… Et le lendemain au petit-déjeuner, qu’elle avait fini par prendre sur mes genoux. Puis la journée passée avec elle dans mes bras. Et puis ses baisers. Désormais je pouvais l’embrasser quand je voulais, autant que je le voulais. Lana, la femme qui occupait justement mes pensées, m’en sortit en me souriant. Je lui rendais son sourire et m’approchais. Je posais la glacière, et l’imitais en enlevant mes chaussures à mon tour. J’enlevais également mon t-shirt, le posant près de son sac. Il faisait beau après tout autant en profiter !

« T’as vu, j’arrive à le faire tout seul maintenant ! »

Je lui souris et lui fis un clin d’œil. La dernière fois que j’avais enlevé mon t-shirt près d’elle, c’est elle qui avait du le faire. Et ça ne m’avait pas déplu, loin de là. Je m’installais près d’elle. J’avais tellement envie de la prendre dans mes bras… Et je n’avais même plus à hésiter. Doucement alors je passais mon bras derrière elle et l’attirais contre moi, la serrant. J’étais tellement heureux d’être ici, avec elle d’autant plus. Je l’embrassais sur la tête.

« C’est vraiment beau ici je connaissais pas du tout… »

Anakin # Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.  # Lana

crackle bones

Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.

Lana s’installa sur la couverture, près de l’eau. Esprit d’Obiwan ne tarda pas à la rejoindre, alors que je restais planté là, rêveur. Une journée entière avec la femme que j’aimais. Comment ne pas être heureux ? Celle qui occupait mes pensées m’invita alors à me rejoindre, avec un sourire. Je ne me fis pas prier et m’approchais, posais la glacière avant d’enlever mon t-shirt. Je souriais à sa réponse, finalement j’aurais quand même préféré que ce soit elle qui me l’enlève, encore une fois. Je m’asseyais près d’elle et la prenais dans mes bras. Toute une journée comme ça, avec elle. Aujourd’hui je l’aurais rien que pour moi. Juste elle et moi dans ce magnifique endroit. Jetant un coup d’œil à mon chien, remarquais qu’il commençait déjà à s’endormir, posé au soleil. Je souriais en sentant le doigt de Lana passer sur mes abdos. Je baissais les yeux, riant légèrement à sa remarque.

« Si ça marche alors… Peut-être ouais. »

Elle releva alors ses yeux vers moi et je lui souriais. J’aurais pu la contempler ainsi pendant des heures, sans me lasser. Jamais en fait, je ne me lasserai d’elle, de la prendre dans mes bras, de l’embrasser, de la voir sourire. La serrant un peu plus, je l’embrassais sur le haut de sa tête. La gardant dans mes bras, j’écoutais ce qu’elle me disait, comment elle avait découvert cet endroit et ce qu’elle venait y faire, avec ses parents. Remarquant directement les larmes perlées dans ses yeux, je prenais doucement son visage dans une de mes mains, prêt à essuyer les larmes qui pouvaient couler. Je ne voulais pas la voir pleurer, quelle que soit la raison. Caressant doucement sa joue avec mon pouce, je fus légèrement étonné lorsqu’elle ajouta qu’elle n’était pas revenue ici depuis ‘qu’il’ était mort. Je la regardais un instant sans rien dire, je ne savais pas que son père était décédé. La serrant encore contre moi, je posais mon menton sur le haut de son crâne.

« Je suis désolé pour ton père, je savais pas… »

Je l’embrassais une nouvelle fois sur la tête avant de la regarder et de lui sourire. Je ne voulais pas la voir triste alors j’allais tout faire pour la faire rire et sourire. Elle fini par poser ses lèvres sur les miennes en un doux baiser que je prolongeais, la gardant contre moi. Je voulais profiter d’elle un maximum aujourd’hui, avant de retourner travailler demain et de ne la voir qu’au café. Maintenant que j’étais là avec elle, je me rendais compte à quel point elle m’avait manqué ces derniers jours. C’était peut-être idiot, mais c’était vrai. J’étais amoureux d’elle et je voulais être le plus de temps possible à ses côtés. Dormir avec elle dans mes bras, la voir sourire au réveil le restant de ma vie. Posant une main sur ses jambes, je lâchais doucement ses lèvres et la regardais, souriant.

« Tu veux aller te baigner ? »

Anakin # Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.  # Lana

crackle bones

Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.

Avec Lana dans mes bras j’étais l’homme le plus heureux du monde. Mon amoureuse était blottie contre moi et je n’aurais échangé ce moment contre rien au monde. Je souriais alors qu’elle passait ses doigts sur mes abdos, me demandant si j’essayais de la séduire comme ça. Riant légèrement, je lui répondis. Et puis même si ça ne marchait pas, c’était une bonne technique pour l’attirer contre moi. La regardant, avec son sourire, je me demandais ce qu’il me retenait encore de lui enlever son haut et de l’attirer contre moi, encore plus. De coller mon corps contre le sien, sans la lâcher… Mais alors qu’elle me racontait comment elle avait connu cet endroit, ajoutant qu’elle n’était pas revenue depuis que son père était mort, je la serrais contre moi et posais ma tête contre la sienne pour la réconforter. Je ne savais pas trop quoi penser, elle m’avait choisis moi pour l’accompagner ici pour la première fois depuis le décès de son père. Elle aussi devait vraiment tenir à moi et ça me rassurait. Elle semblait avoir moins peur que l’autre fois et j’en étais heureux. Elle disait que ce n’était pas grave, et je la regardais en souriant, l’embrassant à nouveau sur le crâne, avant que nos lèvres se joignent à nouveau.

Je lui proposais d’aller se baigner et cette idée semblait lui plaire vu le sourire qu’elle m’offrit. Elle se redresse, face à moi sur les genoux. Appuyer sur mon bras je la regardais. Son regard… Si seulement elle savait dans quel état elle me mettait quand elle me regardait comme ça… Pas de maillot ? Ce n’était en aucun cas un problème. Je lui souriais, encore une fois je me demandais ce qui me retenait de lui enlever ses vêtements moi-même.

« Ce n’est pas un problème tu sais… »

Elle enleva alors son haut et se retrouva en soutien-gorge devant moi. Ce n’était pas la première fois, et je savais que ce ne serait pas la dernière. Je souriais, je voulais l’attirer contre moi et l’embrasser mais elle fut trop rapide. Elle était déjà debout et enleva son short qui tomba sur le sol. Je la regardais s’éloigner en souriant, avant de me lever et d’enlever mon jeans à mon tour. J’étais moi aussi en sous-vêtements, prêt à la rejoindre. Alors qu’elle tendait son bras, j’attrapais sa main avant de passer mes bras autour de sa taille. Ma langue jouait avec la sienne, j’aurais pu rester comme ça durant des heures. Et c’est ce que j’allais pouvoir faire car j’allais avoir Lana pour moi tout seul toute la journée.

Frileux ? Pourquoi ?

Je comprenais rapidement lorsque je me sentis projeter dans l’eau. Heureusement non, je n’étais pas du tout frileux. En ressortant de l’eau, je secouais la tête avant de voir Lana dans l’eau également, visiblement fière de ce qu’elle avait fait. Je souriais, et me mettant là où j’avais pieds je l’attrapais et la portais comme une princesse. Même si elle était déjà mouillée, je voulais quand même me venger, un peu.

« M’en veux pas s’il te plaît »

Déposant un baiser furtif sur ses lèvres je la jetais dans l’eau à mon tour.

Anakin # Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.  # Lana

crackle bones

Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.

Si seulement elle savait l’effet qu’elle me faisait. Je me demandais encore ce qui me retenait de l’attraper et de la coller contre moi, de lui sauter dessus. Le fait de ne pas avoir de maillot de bain n’était pas du tout un problème, loin de là. J’avais même l’impression qu’elle me cherchait, qu’elle cherchait à ce que je lui saute dessus. Et une fois qu’elle eut enlevé son haut, elle était trop rapide pour moi. Elle était déjà debout, à enlever son short, prête à partir vers l’eau. Je la regardais avec envie. Il fallait que je la rattrape, alors je me levais et me débarrassais rapidement de mon jeans. Elle me tendit son bras, et j’attrapais sa main, l’attirant vers moi. Passant mes bras autour de sa taille, je la serrais alors que nous échangions un baiser. J’aurais pu rester ainsi pendant des heures, mais la question de Lana m’intriguait. Si j’étais frileux ? Pourquoi voulait-elle savoir ça d’un seul coup ? Je la regardais, attendant une explication. Et je l’eu assez rapidement, lorsque je me retrouvais à l’eau.

Une fois sortie, je secouais la tête et m’essuyais le visage avec les mains, avant de voir Lana visiblement fière d’elle. Elle souriait comme une enfant qui venait de faire une énorme connerie. Je souriais à mon tour, je n’allais pas en rester là. M’approchant d’elle, je l’attrapais et la portais. Elle semblait aux anges, et j’en étais presque à regretter ce que je comptais faire. Mais, c’était sans regret que je la jetais à l’eau après l’avoir embrassé. Et puis, même si elle m’en voulait, je saurais aisément comment me faire pardonner auprès de la jeune femme. Nageant un peu vers l’endroit où je l’avais jeté, je lui souriais lorsqu’elle remonta à la surface. Même après un tour sous l’eau, elle restait magnifique. Je la regardais s’approcher de moi et l’attrapais par la taille. Je souriais lorsqu’elle me dit qu’elle n’était pas rancunière.

« J’en ai de la chance. »

Et même énormément chanceux. J’avais dans mes bras la plus jolie fille que je n’avais jamais vu, et en plus je l’avais rien qu’à moi pour une journée entière. Lorsqu’elle m’embrassa, je prolongeais le baiser joignant ma langue à la sienne. Je l’attrapais par les fesses et la portais, sans lâcher ses lèvres. J’avais envie d’elle, je la désirais là maintenant. L’une de mes mains fini par remonter lentement le long de son dos, jusqu’à dégrafer son soutien-gorge. Je souriais d’un air innocent.

« Oups… »

Anakin # Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.  # Lana

crackle bones

Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.

Lana était à nouveau dans mes bras, et je lui souriais. elle ne m’en voulait pas, et puis de toute façon dans le cas contraire, j’aurais réussi à la faire craquer. Et en même temps, c’était elle qui avait commencé, j’avais juste repris la monnaie de ma pièce. Posant mes mains sur ses fesses, je la tenais alors qu’elle enroulait ses jambes autour de ma taille. Ma langue jouait avec la sienne. Je me demandais si elle savait l’effet qu’elle avait sur moi.

Lentement ma main glissa le long de son dos et je lui dégrafais son soutien-gorge. Elle me regarda et je lui souriais comme un enfant qui venait de se faire attraper avec avoir fait une bêtise. Au fond, je n’osais pas vraiment aller plus loin. Et si ce n’était pas ce qu’elle voulait, d moins tout de suite ? Si seulement elle pouvait m’envoyer un signal ou même dire quelque chose… maintenant que j’étais enfin avec elle, je ne voulais pas tout gâcher. Je ne voulais pas qu’elle pense que tout ça n’était qu’un jeu, et que ce moment était mon but. C’était loin d’être le cas. Je voulais la rendre heureuse, par tout les moyens et ça toute une vie. Lorsqu’elle colla sa bouche à la mienne, je souriais avant de chercher sa langue et de jouer avec. Passant mes pains dans son dos, je la caressais doucement, l’attirant de plus en plus contre moi.

Mais lorsqu’elle lâcha mes lèvres, je la regardais inquiet. Elle s’était mise à trembler, je la tenais toujours contre moi, ne voulant pas la lâcher. J’avas peur qu’elle parte à nouveau. Dans ses yeux, je voyais qu’elle avait peur. Mais peur de quoi ? Ne disant rien, j’attendais qu’elle dise quelque chose, essayant de lire en elle en attendant qu’elle parle. Le regard inquiet qu’elle me rendit me faisait peur. J’avais l’impression que le temps s’était arrêté. Puis elle parla, enfin. Si je l’aimais vraiment ? Mais quelle question ! Bien sûr que oui, elle n’était pas un jouet pour moi, je l’aimais vraiment. J’étais fou d’elle, fou amoureux comme je ne l’avais jamais été auparavant. La serrant encore contre moi pour la rassurer, je la regardais dans les yeux.

« Je t’aime. Et je crois bien que je suis tombé amoureux de toi la première fois où tu m’as envoyé balader. Bien avant que tu me demandes de lire un livre. T’es pas une fille comme les autres, t’es pas un jeu pour moi je t’aime vraiment Lana. »

Je caressais doucement sa joue et lui souriais.

« Maintenant si tu veux je peux toujours tenter de te décrocher le Soleil en grimpant en haut de cette cascade, mais on risquerait d’avoir chaud… »

Après avoir déposé un doux baiser sur ses lèvres, je la regardais encore une fois, souriant.

« Ou je peux te répéter que je t’aime jusqu’à te saouler. »

Anakin # Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.  # Lana

crackle bones

Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.

Elle me faisait peur à trembler comme ça. Même la serrer dans mes bras ne suffisait pas à la calmer où à la rassurer. Elle semblait vraiment effrayée, inquiète. Mais pourquoi ? Je ne la lâchais pas des yeux, essayant d’y voir ce qui l’inquiétait tant. Elle ne parlait pas et j’avais l’impression que le temps ne passait plus. Depuis combien de temps je la tenais dans mes bras, attendant de savoir ce qu’elle avait ? Trop longtemps à mon goût. Et lorsqu’elle parla, ce que je m’étais imaginé devenait réel. Elle avait peur que tout ça ne soit qu’un jeu, que je ne l’aimais pas vraiment. Mais elle se faisait du souci pour rien, je ne voulais pas de ce genre de relation avec elle. Avec elle j’étais enfin prêt à quelque chose de plus sérieux. La serrant encore contre moi, je me lançais dans une déclaration que je n’avais jamais faite auparavant. Moi, Anakin Denton j’étais amoureux d’une fille. Genre, vraiment amoureux. Plus je parlais, plus je la sentais se détendre. Elle arrêtait de trembler et semblait rassurer. Je lui souriais et l’embrassais tendrement. Si elle ne voulait pas aller plus loin, j’attendrais. J’avais vraiment envie d’elle, mais j’étais prêt à attendre encore un peu si elle le souhaitait.

Sa peau collée à la mienne, mon désir pour elle ne faisait qu’accroître. Ma main toujours sur sa joue, je la regardais et ne pus m’empêcher de sourire lorsqu’elle me dit qu’elle voulait que je fasse autre chose, maintenant. Reposant mes deux mains sur ses fesses, je remettais correctement en place.

« Est-ce que tu te rends comptes de l’effet que tu me fais ? »

Lui souriant une nouvelle fois, je collais mes lèvres contre les siennes. Brisant la barrière de ses lèvres, je cherchais sa langue avec la mienne. Sans la lâcher, je l’emmenais doucement jusque derrière la cascade. Lâchant doucement ses lèvres, je la regardais avec envie.

« On sera plus tranquilles ici… »

L’envie se faisait de plus en plus ressentir, et ce par tout les membres de mon corps. J’appréhendais un peu sa réaction, mais cela ne m’empêchais pas de passer mes lèvres dans son cou, et de glisser délicatement mes mains dans sa culotte pour lui enlever. Bloqué par ses jambes autour de ma taille, mon visage toujours caché dans son cou, je souriais.

« Tes jambes ma chérie… »

Anakin # Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.  # Lana

crackle bones

Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.

J’avais enfin réussi à la rassurer. Je ne voulais pas la voir inquiète, et surtout pas à cause de l’amour que je lui portais. Ses jambes autour de ma taille, et ses bras autour de mon cou, elle se tenait à moi comme à une bouée de sauvetage. Sa peau nue contre la mienne, mes mains sur ses fesses j’avais tellement envie d’aller plus loin avec elle. Et elle m’avait bien fait comprendre qu’elle aussi. Je le tenais fermement et la regardais. Cette fille me rendait dingue. J’étais fou, fou d’elle, fou amoureux. Je la voulais pour moi tout seul. La maintenant, c’est ce qu’elle avait dit. Baissant les yeux vers sa main posée sur ma poitrine, je lui souriais avant de prendre ses lèvres, j’allais lui faire comprendre qu’elle effet elle me faisait. Jouant avec sa langue, j’avançais lentement dans l’eau, la gardant contre moi. Ses mains sur mon corps ne faisaient qu’augmenter l’envie que je ressentais pour elle. Je fermais les yeux en passant sous la cascade, avant de les rouvrir et de sourire. Je la voulais rien que pour moi, et même si elle avait dit qu’il n’y avait jamais grand monde ici, on ne sait jamais si quelqu’un pouvait avoir l’idée de venir. Je riais légèrement à sa remarque.

« Non… Je te veux juste rien que pour moi… »

Il fallait vraiment aller plus loin maintenant, je ne tenais plus. Mon corps et mon esprit étaient en parfait accords, tous deux avaient envie de faire l’amour à Lana, là maintenant sous cette cascade. Mes lèvres glissaient lentement dans le cou de mon amoureuse, alors que mes mains glissaient sur son corps jusqu’à atteindre leur objectif : sa culotte. Mes mains passaient doucement à l’intérieur et j’entrepris de lui enlever sauf que ses jambes me bloquaient. Je souriais et lui demandais de les retirer, au moins le temps de la déshabiller totalement. Ma chérie. Souriant toujours, j’embrassais une dernière fois son cou avant de baisser sa culotte le plus bas possible, et Lana s’occupa de s’en débarrasser d’un coup de pied. Je la regardais, plongeant mon regard dans le sien. Elle semblait être aux anges et cela me fit sourire, plaçant une mèche de cheveux derrière ses oreilles, je l’attrapais par la taille pour la coller contre moi alors qu’elle plaquait sa bouche contre la mienne. Je jouais encore avec sa langue, sentant ses mains glisser le long de mon corps, alors que celle qui me restait de libre caressait doucement son intimité.

Un gémissement de plaisir s’échappa de ma gorge lorsqu’elle me caressa doucement. A son tour, elle fini par me retirer ce qu’il me restait de vêtement et je m’en débarrassais moi aussi d’un coup de pied. Alors qu’elle enroulait à nouveau ses jambes autour de ma taille, je sentais l’envie monter en moi encore et encore. Posant une nouvelle fois mes mains sur ses fesses je la tenais fermement et la regardais. Je voulais être sûr qu’elle le voulait vraiment. Et dans son regard je trouvais rapidement la réponse que j’attendais. Capturant à nouveau ses lèvres, tout en l’embrassant je m’enfonçais doucement en elle.

Anakin # Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.  # Lana

crackle bones

Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.

Nous étions désormais cachés des yeux du monde par un mur d’eau. Je la voulais rien que pour moi, je ne voulais pas la partager. Pas que cela me gênait, après tout on pouvait parfaitement passer pour deux amoureux, dans l’eau, dans les bras l’un de l’autre. Mais je voulais la garder pour moi, je voulais être le seul à la voir ainsi, à moitié nue dans mes bras. Lui enlevant enfin sa culotte, je la regardais. Plongeant mon regard dans le sien, je la trouvais tellement belle. Et elle était là dans mes bras, aujourd’hui ce n’était qu’elle et moi, le reste du monde n’existait plus. Il n’y avait qu’elle, elle était la seule femme à mes yeux. Je l’attrapais par la taille, l’embrassant encore. Elle me rendait dingue, et j’espérais qu’elle s’en rende compte. Jamais aucune fille ne m’avait fait un tel effet. J’en étais certains, avec elle ce n’était pas une simple amourette de quelques mois. C’était bien plus que ça. Elle aussi fini par m’enlever mon boxer, non sans m’avoir caressé tendrement, alors que je faisais de même. Me débarrassant de mon dernier vêtement d’un coup de pied, j’espérais tout de même le retrouver après. Ses jambes à nouveaux autour de ma taille, je reposais mes mains sur ses fesses. Je la regardais, voulant être certain qu’elle voulait la même chose que moi. Je trouvais ma réponse, et reprenais ses lèvres. Tendrement d’abord, ma langue finie par trouver la sienne et jouer avec, alors que je pénétrais doucement en elle.

Passant mes mains dans son dos, donnant des coups de reins, je gémissais en tenant ma belle dans mes bras. C’était tellement bon, ce que je ressentais en ce moment, je ne l’avais jamais ressentit auparavant. C’était ça alors, faire l’amour avec une fille dont on était fou amoureux ? J’avais déjà couché avec des filles pas mal de fois, mais je n’avais jamais ressentit ce que je ressentais en ce moment. Déjà, je ne faisais pas que coucher avec Lana, j’en étais dingue, fou amoureux, alors tout était différent. Je prenais beaucoup de plaisir avec elle, comme je n’en avais jamais prit avec aucune autre. Passant mes lèvres dans son cou, j’accélérais peu à peu la cadence. Sentant les mains de Lana dans mes cheveux, je souriais. Embrassant doucement son cou, je fini par lui faire un suçon. Elle pouvait me tuer si elle le voulait, je n’en avais rien à faire en ce moment.

Anakin # Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.  # Lana

crackle bones

Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.

Lana dans mes bras, ma peau nue contre la sienne, mes mains se baladant dans son dos. Ce que je ressentais était comme nouveau. Du plaisir, et d’autres sensations étranges dans mon ventre se faisaient ressentir. Accélérant mes coups de reins, ma tête dans son cou, mes lèvres s’attardaient sur ce dernier, lui laissant une marque. Elle allait certainement m’en vouloir mais je m’en fichais, mes pensées étaient bien trop obnubilée par la fille que j’avais entre mes bras. Je souriais en sentant ses lèvres dans mon cou. Elle me mordait, et ses mains passaient dans mon dos, laissant certainement des marques vu l’ardeur qu’elle y mettait. Mais je m’en fichais totalement, seuls comptaient la fille que j’avais dans mes bras et le plaisir que je ressentais. Je l’entendais gémir, ses gémissements se mêlant aux miens. J’étais prêt à exploser, mes coups s’accélérant encore jusqu’à ce que j’atteigne l’orgasme, et elle aussi. La tenant toujours dans mes bras, je souriais à bout de souffle.

Ralentissant mes gestes, je finis par m’arrêter totalement et reculais, la libérant sans pour autant la lâcher. Gardant mes mains derrières son dos je ne voulais aucunement la lâcher. Je voulais la garder dans mes bras, encore. Je souriais lorsqu’elle m’embrassa, la regardais lorsqu’elle prononça mon nom dans un souffle. Posant délicatement ma main sur sa joue, je la caressais doucement, plongeant mon regard dans le sien alors qu’elle me disait qu’elle m’aimait.

« Moi aussi… »

Je souriais en la voyant rougir, elle était tellement adorable. Lorsqu’elle releva la tête, elle me déposa un baiser rapide sur les lèvres avant de me demander de l’aider à retrouver sa culotte. Je souriais et déposais un baiser sur ses lèvres à mon tour.

« Je m’en occupe »

Je la lâchais un peu à contre cœur, mais il fallait bien que l’on récupère nos sous-vêtements. Enfin une partie, le soutien-gorge de Lana flottant probablement un peu plus loin. Je plongeais et par chance, je retrouvais facilement sa culotte et mon boxer. Me rapprochant à nouveau de Lana, je restais sous l’eau et l’attrapais pour qu’elle me rejoigne. Je l’embrassais, et restais quelques secondes sous l’eau, nos lèvres collées l’une à l’autre. La tenant contre moi, je remontais à la surface et lui souriais.

« J’ai retrouvé nos sous-vêtements. »

Je lui rendais sa culotte et mettais mon boxer, avant de prendre sa main et de l’entraîner de l’autre côté de la cascade.

Une fois en dehors de l’eau, je fouillais dans le sac que Lana avait apporté. Elle avait pensé à prendre une serviette, je la prenais et la mettais sur les épaules de mon amoureuse en lui souriant, pour ne pas qu’elle attrape froid. Mon chien n’avait pas bougé de sa place initiale, dormant tout en prenant le soleil. Je me penchais vers Lana et l’embrassa tendrement une nouvelle fois.

Anakin # Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.  # Lana

crackle bones

Seul en pleine nature tu es à moi. Entiérement. Irrémédiablement.

Attrapant Lana, je l’avais attiré contre moi, sous l’eau et l’embrassais. La tenant contre moi, ses lèvres contre les miennes, j’aurais pu rester comme ça des heures si l’un de nous deux savaient respirer sous l’eau. Mais l’air commençant à manquer, je remontais à la surface, la gardant dans mes bras. Je lui souriais et lui disais que j’avais retrouvé nos sous-vêtements. Elle avait déjà retrouvé son soutien-gorge et elle l’avait déjà enfilé. Je lui souriais lorsqu’elle me disait que j’étais le plus fort. J’enfilais à nouveau mon boxer, avant de nager avec elle jusqu’au bord. Esprit d’Obiwan n’avait toujours pas bougé, et cela ne m’étonnait pas. Ce n’était pas le genre de chien à prendre la fuite quand on ne le surveillait pas. Je pouvais facilement me promener avec lui sans le tenir en laisse et il restait toujours près de moi. Et puis là, il semblait vraiment bien endormi à profiter du soleil.

Fouillant dans le sac que Lana avait apporté, j’en sortais une serviette. Me tournant vers Lana, je la voyais serrer ses bras contre elle. Posant la serviette sur ses épaules, je passais mes mains sur ses bras pour la réchauffer. Je ne voulais pas qu’elle attrape froid et qu’elle soit malade. Et si elle venait à l’être, je m’occuperai d’elle comme elle l’avait fait avec moi.

Je riais légèrement à sa remarque. Je la regardais ensuite en souriant, elle était tellement adorable avec le regard qu’elle me lançait. Quand elle me regardait comme ça, j’en étais d’autant plus certain : j’étais amoureux de cette fille. Vraiment amoureux.

« Si c’est toi qui le dit… »

Passant doucement le dos de mes doigts sur sa joue, je la regardais en souriant. Elle était tellement belle, tellement adorable, tellement… tout. Elle s’installa à nouveau sur la couverture, et je m’asseyais près d’elle. Je la gardais contre moi, sa main dans la mienne et j’entremêlais mes doigts avec les siens. Je sentais qu’elle s’endormait et souriais lorsque je remarquais qu’elle était totalement endormie. Mon chien dormait lui aussi et je bougeais un peu pour me placer correctement tout en gardant Lana contre moi. Je fermais les yeux à mon tour et sombrais également dans le sommeil.